dimanche 23 novembre 2025
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Une part «d’intuition»

Sans vouloir brûler les étapes, Xabi Alonso a alors étudié les offres qui lui ont été faites et c’est finalement celle de Leverkusen, englué dans les bas-fonds de la Bundesliga au début de l’exercice 2022/23, qui a attiré son attention, évoquant une part «d’intuition». Vieux souvenirs de son passage munichois, il a fait l’effort dès sa première prise de parole, et par la suite, de s’exprimer dans la langue de Goethe, comme l’avait fait à son époque Guardiola en arrivant au Bayern.

D’un calme olympien devant la presse, il peut parfois s’agiter dans sa zone au bord du terrain pour donner ses consignes et laisser éclater sa joie comme les quelques fois où sont équipe s’en est sortie d’extrême justesse cette saison. Il reconnaît d’ailleurs lui-même que le terrain lui manque. «Je ne devrais pas le dire mais oui. Ça me manque quand je prépare les matches et que je suis sur le bord du terrain», glisse malicieusement celui qui se dit «Basque, totalement Basque, avec maintenant une grande influence germanique».

Partisan de laisser de la liberté à ses joueurs sur le terrain, il estime ne pas être un «fondamentaliste qui demande que l’on joue de telle façon et qui dit que c’est la seule façon de jouer», s’inspirant du «maître» Ancelotti pour la gestion humaine. Toujours en stratège, il a annoncé fin mars qu’il resterait à Leverkusen la saison prochaine. Il préfère ainsi essayer de succéder à Jürgen Klopp, pas sur le banc des Reds mais comme entraîneur double tombeur du Bayern en Allemagne (2011 et 2012 avec Dortumund).

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